Scandales judiciaires de Ghada Aoun... Qui l'arrête?

Scandales judiciaires de Ghada Aoun... Qui l'arrête?

| jeudi 20 janvier 2022

Agence “Akhbar al-Yawm”

Elle n'appartient plus à l'organe judiciaire.

Ces derniers jours ont révélé une série d'erreurs judiciaires flagrantes pour le procureur général du Mont-Liban, le juge Ghada Aoun, ce qui a provoqué l'indignation des sources judiciaires suprêmes.

Dans les détails obtenus par l'agence "Akhbar Al-Yawm", le juge Aoun, comme à son habitude, a refusé d'être informé de la réponse de réclamation présentée par le gouverneur de la Banque du Liban Riad Salameh, et a continué à examiner l'affaire vexatoire, et a insisté pour fixer une deuxième audience mardi dernier, puis a pris la décision de restreindre la cession d'un certain nombre de propriétés et de biens immobiliers appartenant à Salameh, dans une violation juridique scandaleuse d'un juge qui ne respecte pas les lois.

Des sources judiciaires révèlent que les violations de la juge Aoun ne se sont pas arrêtées lorsqu'elle a refusé d'être informée de la réponse à la réclamation et a poursuivi l'examen du dossier, mais qu'elle a également commis une violation juridique majeure en délivrant une interdiction de voyager à l'encontre de Salameh, car d'abord elle n'a pas le droit de rendre une telle décision, et elle a tenté de justifier à certains concernés que le Procureur général des Finances, le juge Ali Ibrahim, avait déjà commis une telle violation, elle a donc le droit de la répéter. Deuxièmement, parce qu'elle n'est pas passée par son Président, le procureur général, pour s'adresser à la sécurité publique et leur envoyer l'interdiction de voyager, mais elle l'a juste envoyée par le ministre de la Justice.

Il s'agit d'une grave violation de la loi, car la Direction Générale de la Sécurité Publique est une force de l'ordre dans le ministère public discriminatoire et non dans la Cour d'appel, ce qui a rendu la sécurité publique incapable d'appliquer la décision et est censée la renvoyer à son renvoi, c'est-à-dire à la Cour d'appel du Mont Liban, notant qu'il doit être saisi par le Procureur général de la Cour Suprême, le juge Ghassan Aweidat, pour décider.

Les sources confirment que le juge Aoun n'est plus affilié depuis longtemps à l'organe judiciaire et à ses sources judiciaires, mais n'a fait que suivre sa référence politique et partisane, et le chef de l'Autorité d'Inspection Judiciaire, le juge Barkan Saad, refuse de trancher des dizaines de dossiers sur sa table contre Ghada Aoun et compte les jours jusqu'en juillet prochain, date de sa retraite, pour quitter la justice sans prendre la responsabilité de trancher tous les dossiers dont il est saisi.

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