Ces noms seront sur l'échange de nominations demain

Ces noms seront sur l'échange de nominations demain

| mercredi 07 décembre 2022

Hala Al-Husseini - "Akhbar Al-Yawm"

Il est clair que le discours du chef du Courant Patriotique Libre Gebran Bassil, lors de sa conférence de presse d'hier a causé et même laissé de nombreuses répercussions sur la voie politique du pays, ce qui rebattrait à nouveau les cartes, notamment en ce qui concerne la session pour élire un président de la république, où Bassil a indiqué la possibilité de sortir du livre blanc et de mettre de nouveaux noms.

Des sources parlementaires indiquent que la session de demain verra une nouvelle situation en termes de statut des noms et des nouveaux candidats du CPL à la présidence de la république, en réponse à la session du cabinet qui a eu lieu lundi dernier et "a provoqué un tremblement de terre" - si l'expression est juste - avec le CPL.

Les sources ont souligné que parmi les noms proposés qui seront avancés par certains des représentants du bloc Liban fort figurent : le représentant Nehmat Frem, l'ancien ministre Ziad Baroud et le Dr Issam Khalifeh.

C'est au niveau de la session de demain. En ce qui concerne les sessions législatives, les sources ont exclu la tenue de telles sessions à l'heure actuelle en raison du fait que la majorité des factions chrétiennes n'acceptent pas la tenue de telles sessions, car la priorité -est d'élire un président pour la république, et donc les choses au Liban se dirigent vers une escalade politique, ce qui signifie que le pays se dirige vers un état de chaos politique, économique et financier.

Alors que les contacts et les consultations se sont accélérés après le discours de Bassil pour combler le fossé et empêcher la situation de s'échapper, surtout après qu'il a parlé de décentralisation élargie et de décentralisation financière, les sources ont vu dans ses propos d'énormes violations constitutionnelles, car la décentralisation financière n'a pas été approuvée jusqu'à présent, ce qui signifie que la situation doit être résolue et le chemin doit être corrigé De nombreuses consultations, ce qui met les sessions législatives actuellement en position de report, surtout après la session du cabinet, ce qui affectera le contrôle des capitaux, qui entrera également dans un retard d'une durée indéterminée, d'autant plus qu'on a tendance à l'étudier et à l'écarter, puis à passer à la restructuration des banques et à la régulation financière par le biais de propositions. Des lois sont soumises au conseil à cet effet si elles ne sont pas présentées sous forme de projets de loi.

Et alors qu'il semble que cette affaire soit devenue possible, les mêmes sources voient que la tendance est à tenir des consultations et des contacts avec Bassil pour remettre les choses en ordre, notant que l'équipe du 8 mars, ou plutôt le duo chiite, soutient fortement l'élection du chef du Mouvement Marada, l'ancien député Suleiman Franjieh, à la présidence et sollicite cette affaire. .

De ce point de vue, le Liban est confronté à une étape sensible, et son titre principal est la présidence de la république, d'autant plus que l'extérieur n'a pas encore dit son mot, en attendant l'achèvement du règlement, et donc le pays connaîtra de nombreuses tensions dans les discours et les réactions.

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