Antoun Al Fata - Akhbar Al Yawm
Les politiciens au Liban sont la « connexion et la solution » dans l'avenir du dollar du marché noir. On ne parle plus de réformes, de lutte contre la corruption, de contrôle des frontières, d'arrêt de la contrebande...
Une source a souligné que "le jeu du dollar du marché noir est sur son chemin, et il monte au milieu des discours politiques sur les langues de divers partis et personnalités, augmentant les problèmes et les causes de sa montée, car il n'offre pas tout trottoir réel ou tout mouvement qui empêche un nouvel effondrement. Tout ce que nous entendons, c'est un désir de remplacer un personnage dans cette position, par un autre.
La source a souligné dans une interview via Akhbar Al Yawm que "parler de la situation économique, de l'économie productive et du développement de l'industrie, ne va pas au-delà de parler et de présenter des problèmes sans apporter de solutions, à un moment où nous désespérons besoin de trouver des solutions rapidement."
La source a imputé « la dégradation de la situation économique et financière, et le dollar du marché noir, au secteur privé également, pas à l'autorité et à ses seules pratiques. Même ces piliers du secteur privé n'ont qu'une demande de soutien. Ils manifestent un besoin constant de soutien, sans tenir compte du fait que tout ce qu'ils réclament sur ce front ne leur profitera pas, à chaque fois que l'effondrement du pouvoir d'achat d'un grand groupe de personnes augmente.
« Même les instances économiques ne bougent que pour parler de leur besoin de soutien. Il rend visite aux trois présidents pour exiger des gains et un soutien, sans exercer ses fonctions dans plusieurs autres domaines. Pourquoi, par exemple, ne trouve-t-on pas dans ces instances une prise de position sérieuse qui contribue à accélérer la fin du vide présidentiel ? Ou en formant des gouvernements lorsque la formation est retardée ? Cela ne se produit pas, bien sûr, car même le secteur privé est habitué à la corruption autoritaire et aux pratiques politiques anormales, et reste silencieux à ce sujet, et triche avec lui, satisfait du soutien qu'il peut obtenir, avec ou sans président ou gouvernement. Cela ne permet pas un environnement viable pour une économie saine, sous une forme durable.