L'Iran veut une place dans tout futur règlement et solution dans la région

Le discours du Secrétaire général du Hezbollah Sayyed Hassan Nasrallah lors de sa première apparition après le "Déluge d'Al-Aqsa" (vendredi dernier) n'a pas porté un nouveau niveau d'escalade de la guerre en cours, ni n'a rien changé les règles d'engagement entre lui et Israël aux frontières sud du Liban, d'une part, il a menacé d'étendre la guerre, dans une lettre aux Israéliens et aux Américains caractérisée par la méthodologie de "l'ambiguïté stratégique".

Il semble que le cours des événements n'ait pas incité Nasrallah à donner le feu vert pour soutenir les Gazaouis, de sorte que les observateurs politiques disent qu'il adopte une approche pour que son plan stratégique actuel se limite à distraire l'ennemi sur le front sud.

Contrairement aux attentes, le discours précédent était calme et porteur d'une grande prudence, il n'avait pas pour but d'annoncer l'Heure Zéro pour ouvrir le front libano - israélien à grande échelle, en dehors des règles d'engagement.

Dans le contexte de la deuxième apparition d' "Al-Sayyed", samedi prochain, à l'occasion de la "journée des martyrs du Hezbollah", il y a ceux qui n'ont pas exclu d'adopter l'ambiguïté comme "élément de surprise", et donc de bombarder la profondeur des villes israéliennes, avec une frappe préventive, ce qui crée un état de confusion du côté israélien.

Bien évidemment, les parties israélienne et Hamas se précipitent pour remporter la victoire au milieu d'énormes pertes de sang, de destructions et de pertes humaines, ce qui aura des répercussions stratégiques au niveau de la région du Moyen-Orient. Selon des informations à l'agence "Akhbar al-Yawm", cela intervient à un moment où l'Iran a informé la communauté internationale et l'Arabie saoudite en particulier, qu'il souhaitait une place dans tout futur règlement et solution dans la région, après la fin de la "guerre Déluge d'Al-Aqsa".